ROBUSTA
Sortie Est-MAT-BOMA
W/S-2.11-2.15
N/S-2.06-2.10
W/M-2.04-2.09
W/I-1.96-2.01
N/M-1.94-1.99-1.99
N/I-1.86-1.92-1.68
C/M-1.71-1.78-1.63
C/I-1.61-1.68-1.61
ARABICA
Sortie Est
K9-2.41
K3-1.95
K4-1.75
K5-1.62
K6-1.49
K7-0.92
K8-0.87
Source: ONC/Dir-Kin
Friday, November 30, 2007
Situation Port Matadi
Outre la vétusté des infrastructures
Port de Matadi : la résistance au Guichet unique à la base de la saturation
Par Faustin Kuediasala
Source: Le Potentiel
http://www.lepotentiel.com/afficher_article.php?id_edition=&id_article=33599
Après avoir échappé aux mailles de l'Organisation maritime internationale (OMI) qui le menaçait de fermeture pour plusieurs rasions, le port de Matadi devra actuellement faire face au problème d'engorgement. Outre la vétusté des infrastructures portuaires, l'Onatra accuse les exploitants d'être à la base de cette situation. A la base, sans doute, leur résistance aux procédures instituant le Guichet unique qui occasionne d'importants encombrements des marchandises au niveau du port.
Le port maritime de Matadi est saturé. Six quais sur dix sont en fonction, les quatre autres sont fermés depuis quelques mois à cause du mauvais état de ses infrastructures. Il s'agit des quais MS 1,2, 3 et 4.
Malgré la délocalisation des procédures de dédouanement des véhicules et autres engins roulants à Boma, le désengagement du port de Matadi continue à poser problème. Radio Okapi a abondé dans le même sens en annonçant dans l'une de ses dépêches que le port international de Matadi est aujourd'hui caractérisé par un trop plein de conteneurs et autres effets au-delà de ses capacités d'accueil, les responsables de ce port et les importateurs s'entre accusant, rapporte la radio onusienne.
Selon Anatole Kikua, sous-directeur commercial du port maritime de Matadi, cet engorgement est imputable aux importateurs qui se montrent de plus en lents à faire évacuer leurs marchandises.
Pour ce responsable de l'Office national des transports (Onatra), le port de Matadi n'est pas un port de stockage. Car, ayant été conçu au départ comme port de transit.
Le terminal de ce port a été construit pour une capacité d'accueil de 3 500 conteneurs de 20 pieds. Actuellement, 7 500 conteneurs y sont entreposés, soit plus du double.
Contactés à ce sujet pour donner leur son de cloche face à ces accusations de l'Onatra, certains opérateurs ont estimé, au micro de Radio Okapi, que ce sont plutôt les lenteurs administratives des services publics et autres opérant dans ce port qui sont à la base de cette situation. Le spectacle de désolation qu'on observe actuellement au niveau des installations portuaires de Matadi repose l'éternel problème de réhabilitation des infrastructures de ce port maritime de la RDC, le premier devant ceux de Boma et de Banana, tous propriété de l'Onatra. Bien que lié par un partenariat avec le port belge d'Anvers, le port de Matadi n'est plus que l'ombre de lui-même et il casse de répondre aux standards fixés par l'Organisation maritime internationale (OMI) qui a, maintes reprises, l'a menacé de fermeture pour défaut de sécurité et du vétusté d'infrastructures. L'entreprise espère trouver refuge au Programme multisectoriel d'urgence de reconstruction et de réhabilitation (PMURR), financé par divers bailleurs de fonds étrangers. Mais, le temps s'écoule et des fissures s'étendent, créant de profond dysfonctionnement dans les opérations habituelles du port, notamment la manutention.
FONCTIONNEMENT DIFFICILE DU GUICHET UNIQUE
Si d'un côté, les difficultés observés au port de Matadi s'expliquent par la vétusté des installations portuaires, de l'autre côté, c'est vers les importateurs et autres usagers du port qu'il faudra se tourner. C'est notamment, la résistance des opérateurs à l'import comme à l'export à se conformer aux dernières mesures du ministère des Finances, instituant le Guichet unique au port de Matadi. Chacun voudrait maintenir les vieilles habitudes en contournant les procédures légales prévues à cet effet par Kinshasa. Ce qui, selon plusieurs observateurs, expliqueraient les encombrements par la suite de l'accumulation au port des marchandises en instance de dédouanement. Il faut dire que l'harmonisation des procédures au guichet ont été prises au terme de l'arrêté interministériel n°098/CAB/MIN/FINANCES et n° 003/CAB/140/MIN/CE/2006 du 12 juin 2006 portant mesures d'application du décret n°05/183 du 30 décembre 2005 portant institution d'un Guichet unique à l'importation et à l'exportation. Cet arrêté mettait en application le manuel de procédure simplifié et harmonisé au guichet unique du port de Matadi qui est un site pilote en matière de guichet unique en RDC.
Contactés à ce sujet pour donner leur son de cloche face à ces accusations de l'Onatra, certains opérateurs ont estimé, au micro de Radio Okapi, que ce sont plutôt les lenteurs administratives des services publics et autres opérant dans ce port qui sont à la base de cette situation.
Le spectacle de désolation qu'on observe actuellement au niveau des installations portuaires de Matadi repose l'éternel problème de réhabilitation des infrastructures de ce port maritime de la RDC, le premier devant ceux de Boma et de Banana, tous propriété de l'Onatra. Bien que lié par un partenariat avec le port belge d'Anvers, le port de Matadi n'est plus que l'ombre de lui-même et il casse de répondre aux standards fixés par l'Organisation maritime internationale (OMI) qui a, maintes reprises, l'a menacé de fermeture pour défaut de sécurité et du vétusté d'infrastructures.
L'entreprise espère trouver refuge au Programme multisectoriel d'urgence de reconstruction et de réhabilitation (PMURR), financé par divers bailleurs de fonds étrangers. Mais, le temps s'écoule et des fissures s'étendent, créant de profond dysfonctionnement dans les opérations habituelles du port, notamment la manutention.
FONCTIONNEMENT DIFFICILE DU GUICHET UNIQUE
Si d'un côté, les difficultés observés au port de Matadi s'expliquent par la vétusté des installations portuaires, de l'autre côté, c'est vers les importateurs et autres usagers du port qu'il faudra se tourner. C'est notamment, la résistance des opérateurs à l'import comme à l'export à se conformer aux dernières mesures du ministère des Finances, instituant le Guichet unique au port de Matadi. Chacun voudrait maintenir les vieilles habitudes en contournant les procédures légales prévues à cet effet par Kinshasa. Ce qui, selon plusieurs observateurs, expliqueraient les encombrements par la suite de l'accumulation au port des marchandises en instance de dédouanement.
Il faut dire que l'harmonisation des procédures au guichet ont été prises au terme de l'arrêté interministériel n°098/CAB/MIN/FINANCES et n° 003/CAB/140/MIN/CE/2006 du 12 juin 2006 portant mesures d'application du décret n°05/183 du 30 décembre 2005 portant institution d'un Guichet unique à l'importation et à l'exportation. Cet arrêté mettait en application le manuel de procédure simplifié et harmonisé au guichet unique du port de Matadi qui est un site pilote en matière de guichet unique en RDC.
Situé à 140 km de l'embouchure du fleuve Congo à Banana, le port maritime de Matadi s'étend sur 1.643 mètres comprenant 10 postes à quai pouvant recevoir 10 navires au même moment, avec une capacité théorique de manutention de 2.500.000 tonnes par an, qu'il est loin d'atteindre aujourd'hui à cause de plusieurs pesanteurs : réduction du trafic, avarie des engins de manutention, évacuation des marchandises…ce qui aujourd'hui ne lui permet plus de jouer pleinement son rôle économique, surtout dans ses fonctions commerciales, financières, industrielles et de transport.
Situé à 140 km de l'embouchure du fleuve Congo à Banana, le port maritime de Matadi s'étend sur 1.643 mètres comprenant 10 postes à quai pouvant recevoir 10 navires au même moment, avec une capacité théorique de manutention de 2.500.000 tonnes par an, qu'il est loin d'atteindre aujourd'hui à cause de plusieurs pesanteurs : réduction du trafic, avarie des engins de manutention, évacuation des marchandises…ce qui aujourd'hui ne lui permet plus de jouer pleinement son rôle économique, surtout dans ses fonctions commerciales, financières, industrielles et de transport.
Port de Matadi : la résistance au Guichet unique à la base de la saturation
Par Faustin Kuediasala
Source: Le Potentiel
http://www.lepotentiel.com/afficher_article.php?id_edition=&id_article=33599
Après avoir échappé aux mailles de l'Organisation maritime internationale (OMI) qui le menaçait de fermeture pour plusieurs rasions, le port de Matadi devra actuellement faire face au problème d'engorgement. Outre la vétusté des infrastructures portuaires, l'Onatra accuse les exploitants d'être à la base de cette situation. A la base, sans doute, leur résistance aux procédures instituant le Guichet unique qui occasionne d'importants encombrements des marchandises au niveau du port.
Le port maritime de Matadi est saturé. Six quais sur dix sont en fonction, les quatre autres sont fermés depuis quelques mois à cause du mauvais état de ses infrastructures. Il s'agit des quais MS 1,2, 3 et 4.
Malgré la délocalisation des procédures de dédouanement des véhicules et autres engins roulants à Boma, le désengagement du port de Matadi continue à poser problème. Radio Okapi a abondé dans le même sens en annonçant dans l'une de ses dépêches que le port international de Matadi est aujourd'hui caractérisé par un trop plein de conteneurs et autres effets au-delà de ses capacités d'accueil, les responsables de ce port et les importateurs s'entre accusant, rapporte la radio onusienne.
Selon Anatole Kikua, sous-directeur commercial du port maritime de Matadi, cet engorgement est imputable aux importateurs qui se montrent de plus en lents à faire évacuer leurs marchandises.
Pour ce responsable de l'Office national des transports (Onatra), le port de Matadi n'est pas un port de stockage. Car, ayant été conçu au départ comme port de transit.
Le terminal de ce port a été construit pour une capacité d'accueil de 3 500 conteneurs de 20 pieds. Actuellement, 7 500 conteneurs y sont entreposés, soit plus du double.
Contactés à ce sujet pour donner leur son de cloche face à ces accusations de l'Onatra, certains opérateurs ont estimé, au micro de Radio Okapi, que ce sont plutôt les lenteurs administratives des services publics et autres opérant dans ce port qui sont à la base de cette situation. Le spectacle de désolation qu'on observe actuellement au niveau des installations portuaires de Matadi repose l'éternel problème de réhabilitation des infrastructures de ce port maritime de la RDC, le premier devant ceux de Boma et de Banana, tous propriété de l'Onatra. Bien que lié par un partenariat avec le port belge d'Anvers, le port de Matadi n'est plus que l'ombre de lui-même et il casse de répondre aux standards fixés par l'Organisation maritime internationale (OMI) qui a, maintes reprises, l'a menacé de fermeture pour défaut de sécurité et du vétusté d'infrastructures. L'entreprise espère trouver refuge au Programme multisectoriel d'urgence de reconstruction et de réhabilitation (PMURR), financé par divers bailleurs de fonds étrangers. Mais, le temps s'écoule et des fissures s'étendent, créant de profond dysfonctionnement dans les opérations habituelles du port, notamment la manutention.
FONCTIONNEMENT DIFFICILE DU GUICHET UNIQUE
Si d'un côté, les difficultés observés au port de Matadi s'expliquent par la vétusté des installations portuaires, de l'autre côté, c'est vers les importateurs et autres usagers du port qu'il faudra se tourner. C'est notamment, la résistance des opérateurs à l'import comme à l'export à se conformer aux dernières mesures du ministère des Finances, instituant le Guichet unique au port de Matadi. Chacun voudrait maintenir les vieilles habitudes en contournant les procédures légales prévues à cet effet par Kinshasa. Ce qui, selon plusieurs observateurs, expliqueraient les encombrements par la suite de l'accumulation au port des marchandises en instance de dédouanement. Il faut dire que l'harmonisation des procédures au guichet ont été prises au terme de l'arrêté interministériel n°098/CAB/MIN/FINANCES et n° 003/CAB/140/MIN/CE/2006 du 12 juin 2006 portant mesures d'application du décret n°05/183 du 30 décembre 2005 portant institution d'un Guichet unique à l'importation et à l'exportation. Cet arrêté mettait en application le manuel de procédure simplifié et harmonisé au guichet unique du port de Matadi qui est un site pilote en matière de guichet unique en RDC.
Contactés à ce sujet pour donner leur son de cloche face à ces accusations de l'Onatra, certains opérateurs ont estimé, au micro de Radio Okapi, que ce sont plutôt les lenteurs administratives des services publics et autres opérant dans ce port qui sont à la base de cette situation.
Le spectacle de désolation qu'on observe actuellement au niveau des installations portuaires de Matadi repose l'éternel problème de réhabilitation des infrastructures de ce port maritime de la RDC, le premier devant ceux de Boma et de Banana, tous propriété de l'Onatra. Bien que lié par un partenariat avec le port belge d'Anvers, le port de Matadi n'est plus que l'ombre de lui-même et il casse de répondre aux standards fixés par l'Organisation maritime internationale (OMI) qui a, maintes reprises, l'a menacé de fermeture pour défaut de sécurité et du vétusté d'infrastructures.
L'entreprise espère trouver refuge au Programme multisectoriel d'urgence de reconstruction et de réhabilitation (PMURR), financé par divers bailleurs de fonds étrangers. Mais, le temps s'écoule et des fissures s'étendent, créant de profond dysfonctionnement dans les opérations habituelles du port, notamment la manutention.
FONCTIONNEMENT DIFFICILE DU GUICHET UNIQUE
Si d'un côté, les difficultés observés au port de Matadi s'expliquent par la vétusté des installations portuaires, de l'autre côté, c'est vers les importateurs et autres usagers du port qu'il faudra se tourner. C'est notamment, la résistance des opérateurs à l'import comme à l'export à se conformer aux dernières mesures du ministère des Finances, instituant le Guichet unique au port de Matadi. Chacun voudrait maintenir les vieilles habitudes en contournant les procédures légales prévues à cet effet par Kinshasa. Ce qui, selon plusieurs observateurs, expliqueraient les encombrements par la suite de l'accumulation au port des marchandises en instance de dédouanement.
Il faut dire que l'harmonisation des procédures au guichet ont été prises au terme de l'arrêté interministériel n°098/CAB/MIN/FINANCES et n° 003/CAB/140/MIN/CE/2006 du 12 juin 2006 portant mesures d'application du décret n°05/183 du 30 décembre 2005 portant institution d'un Guichet unique à l'importation et à l'exportation. Cet arrêté mettait en application le manuel de procédure simplifié et harmonisé au guichet unique du port de Matadi qui est un site pilote en matière de guichet unique en RDC.
Situé à 140 km de l'embouchure du fleuve Congo à Banana, le port maritime de Matadi s'étend sur 1.643 mètres comprenant 10 postes à quai pouvant recevoir 10 navires au même moment, avec une capacité théorique de manutention de 2.500.000 tonnes par an, qu'il est loin d'atteindre aujourd'hui à cause de plusieurs pesanteurs : réduction du trafic, avarie des engins de manutention, évacuation des marchandises…ce qui aujourd'hui ne lui permet plus de jouer pleinement son rôle économique, surtout dans ses fonctions commerciales, financières, industrielles et de transport.
Situé à 140 km de l'embouchure du fleuve Congo à Banana, le port maritime de Matadi s'étend sur 1.643 mètres comprenant 10 postes à quai pouvant recevoir 10 navires au même moment, avec une capacité théorique de manutention de 2.500.000 tonnes par an, qu'il est loin d'atteindre aujourd'hui à cause de plusieurs pesanteurs : réduction du trafic, avarie des engins de manutention, évacuation des marchandises…ce qui aujourd'hui ne lui permet plus de jouer pleinement son rôle économique, surtout dans ses fonctions commerciales, financières, industrielles et de transport.
Sunday, November 11, 2007
Conversion Types Café
1 Kg café séché = 0.50 Kg café vert
1 Kg café parche = 0.80 Kg café vert
1 Kg café torefié = 1.20 Kg café vert
Friday, November 2, 2007
Mercuriale Café du 1er au 7 novembre 2007
ARABICA
So;rMAT--EST
K9-2.56-2.34
K3-2.10-1.88
K4-1.90-1.68
K5-1.77-1.55
K6-1.64-1.42
K7-1.06-0.84
K8-1.02-0.80
ROBUSTA
SortiiMAT-EST
W/S-2.30-2.08
N/S-2.25-2.03
W/N-2.24-2.01
W/I-2.15-1.93
N/M-2.13-1.91
N/I-2.05-1.83
C/M-1.90-1.60
C/I-1.80-1.58
Taux de conversion : 1USD = 0.69EUR
ROBUSTA : 2112.87USD/Ton
ARABICA : 101.61c/lb
Source: O.N.C./Dir-Kin
So;rMAT--EST
K9-2.56-2.34
K3-2.10-1.88
K4-1.90-1.68
K5-1.77-1.55
K6-1.64-1.42
K7-1.06-0.84
K8-1.02-0.80
ROBUSTA
SortiiMAT-EST
W/S-2.30-2.08
N/S-2.25-2.03
W/N-2.24-2.01
W/I-2.15-1.93
N/M-2.13-1.91
N/I-2.05-1.83
C/M-1.90-1.60
C/I-1.80-1.58
Taux de conversion : 1USD = 0.69EUR
ROBUSTA : 2112.87USD/Ton
ARABICA : 101.61c/lb
Source: O.N.C./Dir-Kin
Mercuriale du Cacao du 01/11-07/11/07
Bonne Qualité: 1.87
Qualité Courante: 1.75
Qualité Moyenne I : 1.66
Qualité Moyenne II : 1.54
Qualité Moyenne III: 1.32
Grande Brisures : 0.61
Max 50% Fèves défectueuses:0.54
Petite Brisures: 0.35
Plus 50% Fèves défectueuses:0.33
Déchets:0.32
Qualité Courante: 1.75
Qualité Moyenne I : 1.66
Qualité Moyenne II : 1.54
Qualité Moyenne III: 1.32
Grande Brisures : 0.61
Max 50% Fèves défectueuses:0.54
Petite Brisures: 0.35
Plus 50% Fèves défectueuses:0.33
Déchets:0.32
Thursday, November 1, 2007
Mercuriale Café 18 oct. au 24 oct. 2007
ARABICA K9 K3 K4 K5 K6 K7 K8
Sortie Matadi 2.79 2.33 2.13 2.00 1.86 1.29 1.25
Sortie Est 2.57 2.10 2.90 1.77 1.64 1.07 1.02
ROBUSTA W/S N/S W/M W/I N/M N/I C/M C/I
Sortie Matadi 2.21 2.16 2.15 2.06 2.04 1.96 1.81 1.71
Sortie Est 1.99 1.94 1.92 1.84 1.82 1.74 1.59 1.49
Taux de converstion: 1USD=0.71EUR
Robusta Londres: 2.027,94USD/T
Arabica NewYork: 111.80c/lb
Source: ONC/Dir-Kin
Sortie Matadi 2.79 2.33 2.13 2.00 1.86 1.29 1.25
Sortie Est 2.57 2.10 2.90 1.77 1.64 1.07 1.02
ROBUSTA W/S N/S W/M W/I N/M N/I C/M C/I
Sortie Matadi 2.21 2.16 2.15 2.06 2.04 1.96 1.81 1.71
Sortie Est 1.99 1.94 1.92 1.84 1.82 1.74 1.59 1.49
Taux de converstion: 1USD=0.71EUR
Robusta Londres: 2.027,94USD/T
Arabica NewYork: 111.80c/lb
Source: ONC/Dir-Kin
Subscribe to:
Posts (Atom)